jeudi 13 septembre 2018

Nos petits compagnons*

Ce matin, au petit déjeuner, Little 1 a remis sur la table (c'est le cas de le dire) le fait qu'elle aimerait avoir un petit chien rien qu'à elle. Elle en parle régulièrement depuis quelques semaines. Je pense que cette envie d'avoir un petit compagnon, un petit confident, est le souhait de beaucoup d'enfants.

Le problème, c'est que le parent (moi) n'a pas la même vision des choses. Prendre un animal est un engagement sur plusieurs années. C'est une responsabilité qui implique d'organiser notre vie en fonction de lui (que fera le chien quand nous serons au travail, partirons en vacances...?), avons-nous prévu un budget vétérinaire,...? D'autre part, nous avons déjà un (gros) chien et deux chats.

De plus, ce qui me crispe un peu avec ces petites boules de poils, c'est leur tendance à ramener dans la maison, un certain nombre de parasites, puces et tiques. Dans la mesure où nous vivons à la campagne, je suis déjà très vigilante lorsque nous rentrons d'une promenade en forêt et je vérifie que les filles n'aient pas été piquées par une tique. Avec les va et viens des animaux dans la maison, il nous faut aussi traiter régulièrement nos petits compagnons contre les risques parasitaires internes (vers) et externes (tiques et puces) afin de préserver la bonne santé de tous et la notre. D'autant plus que les filles, le chien et les chats  adorent se câliner longuement (enfin le chien aime bien câliner les chats mais l'affection n'est pas forcément réciproque 😉) dans toutes les pièces de la maison, chambres à coucher comprise.

Ainsi, pour une protection efficace et la moins nocive pour les animaux les plus à risque et les enfants avec qui ils sont en contact, il faut traiter son animal tous les mois. Afin d'évaluer les risques auxquels ils peuvent être exposés, je vous conseille de faire le test J'aime et je protège dans le cadre de la campagne de prévention organisée par les laboratoires Boehringer Ingelheim. Il s'agit d'un questionnaire court et ludique qui permet d'évaluer rapidement les risques pour nos compagnons à quatre pattes et les enfants avec qui ils sont en contact.

Nous adorons nos animaux de compagnie, mais quelques précautions restent de mise pour que tout se passe bien.

Et maintenant, voici une petite présentation de nos pensionnaires


Kenji est un Montagne des Pyrénées magnifique (bon, OK un peu encombrant quand il est dans la maison) âgé de 3 ans. Les filles y sont très attachées. Il complète notre petite famille et fait partie du décor et de l'ambiance de notre Petite Maison. Mais pour Little 1, même si elle adore Kenji, il s'agit du chien familial. Je pense que, dans son esprit, son chien à elle, devrait avoir la taille requise pour dormir dans une panière dans sa chambre.

Afin de contourner le problème, je lui ai rappelé que nous avions aussi 2 chats, pouvant aisément remplir cette fonction: Bouboule et Bali.





Alors certes, depuis le printemps, ils ne viennent se rappeler à notre bon souvenir que le matin et le soir, à l'heure des croquettes, préférant le reste du temps, vagabonder à travers champs à la recherche de quelques mulots ou souriceaux la nuit comme le jour. Mais l'automne approchant, ils ne voudront bientôt plus mettre une moustache dehors, préférant roupiller toute la journée sur des coussins douillets au chaud contre le poêle. En général, pendant l'hiver, ils sont beaucoup plus casaniers et enclins à profiter des caresses en échange de ronrons, y compris dans les chambres des filles.

C'est cette carte-là que j'ai joué ce matin entre les tartines et le café: "patiente un peu quelques semaines et tu retrouveras des chats de salons à câliner et à qui confier tes secrets". (Être parent ou l'art de botter en touche 😁).

Et vous, vous avez des petits compagnons? Vos enfants en réclament? Dites moi tout!

Et n'oubliez pas le chatbot si vous souhaitez évaluer vos risques en matière de parasites.


*Article sponsorisé 









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